Pour son premier roman « La femme seule », paru aux éditions Académia, Eloïse Steyaert a puisé dans son vécu, ce qu’elle traverse en tant que jeune femme, épouse et mère de famille. Par ses ressorts littéraires, les pistes de réflexion qu’il dégage, ce roman ressort pourtant bien de la fiction par la distanciation mise entre le personnage qu’elle a créé, Elena, et elle-mêmePour l’autrice liégeoise, il était temps de traiter en littérature la thématique de la femme qui assume toute une série de choses liées à sa vie de couple, de famille, professionnelle, et en est parfois submergée.Biblio-thérapeute Eloïse Steyaert est aussi la créatrice d’ateliers et de retraites d’écriture mais aussi du Slow Reading Club, un club de lecture consciente itinérant qui propose à des passionnés de se réunir durant 1h00, en silence, dans un endroit calme et convivial. Au sommaire également :« Peindre la couleur », exposition à découvrir au Centre wallon d’art contemporain « La Châtaigneraie » à Flémalle« 16 ans en 2023 » spectacle de danse proposé par la Cie Yliti dans le cadre de Bal SpécialF. Bonivert