CultureL avec le théâtre du Grandgousier, Adrien Lambinet et le projet Munsch mais aussi Le mystère Curtius
Pour son retour sur scène, le théâtre du Grandgousier se coupe en 4 et propose 4 petits spectacles sur 4 scènes, du 24 mai au 17 juin.
A l’affiche, « Coprophagiarcat », mis en scène par Frédéric Darras, nous présente trois personnages accros aux écrans dans un spectacle où son et lumière sont également très présents.
« Portrait A5 », mis en scène par Julie Remacle, part du souvenir des comédiens, qu’elle leur a littéralement fait accoucher pour les proposer entre confession et stand-up.
« Quai 3 », mis en scène et chorégraphié par Anne-Lore Baeckeland, réuni une quinzaine de passagers d’un train contraints à descendre sur le quai pour des heures d’attente.
« Quand on est mort, on est mort », mis en scène par Frédéric Ghesquière, est inspiré par « La mastication des morts » de Patrick Kermann, adapté pour 7 personnages dans un univers clownesque.
Après plus de 40 années d’existence, le théâtre du Grandgousier conserve ses caractéristiques initiales : une troupe d’amateurs exigeants, habitués à jouer dans des lieux non-théâtraux et pratiquant un théâtre engagé, toujours en recherche.
Deux des spectacles sont proposés à l’Athénée Maurice Destenay, boulevard Saucy à Liège et les deux autres au Musée des Transports en commun, les jeudis et samedis du 25 mai au 17 juin.
On peut voir deux spectacles le même soir et, pour voir les 4, il faut venir deux soirs au moins. Les prix sont dégressifs.
Les jauges étant petites, il vaut mieux réserver.
Toutes les infos sur : www.legrandgousier.be
Au sommaire également :
- « Le mystère Curtius », le spectacle déambulatoire tiré du roman éponyme de Luc Baba et proposé par le Théâtre du Proscenium. Cette histoire débutant par le vol d’un coffre à la maison Curius est à voir au Grand Curtius les samedis à 15h00 et 18h00 et les dimanches à 15h00.
- Le trio électro-jazz Munsch, emmené par le tromboniste liégeois Adrien Lambinet et qui proposera son 1er album « Entropia » le 28 mai au Festival Jazz à Liège.
F. Bonivert