Au nom du ballon : des enfants coachés par des pros
L’évènement “Au nom du ballon”, organisé par la Province de Liège, est de retour pour sa 4ème édition depuis mercredi. Tournois et initiations sportives se poursuivrons jusqu’à dimanche au Country Hall de Liège. Au programme, du foot, du basket mais aussi du hockey pour la première fois ! Il faut dire que cette discipline fera beaucoup parler d’elle en Cité ardente puisque la coupe du monde de hockey indoor s’y déroulera en février 2022.
L’enceinte du Country Hall a toujours eu une vocation multisports. Avec "Au nom du ballon", c’est d’autant plus vrai que les sports y cohabitent simultanément. Du parquet pour le ballon bondissant partage la grande salle avec du tapis vert pour le ballon roulant. Match ou entraînement, l’objectif de l’événement qui s’adresse essentiellement au 6 – 10 ans reste le même : offrir du plaisir aux jeunes sportives et sportifs.
Côté foot, les équipes U8 et U9 des clubs élites de la région disputaient un tournoi ce mercredi après-midi. Pendant que les Sérésiens attendaient leur tour en tribune, les joueurs de l’AS Eupen et du Standard de Liège s’affrontaient sur un terrain duquel le ballon ne sort jamais.
Sous l’anneau, le plaisir de faire du sport ensemble est le même. Petit plus, l’entraînement de perfectionnement est donné par de vrais pros des Liège Panthers et de Liège Basket. Lionel Bosco, le coach de Liège Basket (D1 masculine) a partagé sa passion et donné des consignes à de plus petits gabarits que d’habitude.
En plus des sports de ballon les plus populaires, cette édition accueille une nouveauté : des initiations de hockey indoor, dont la Coupe du Monde de la discipline est prévue en février 2022 dans ce même Country Hall.
Quant au ballon rond, il en est encore question sur différents ateliers de la manifestation réservée aux écoles, aux clubs et accessible jusqu’à ce dimanche au public de supporters avec CST. Le cuir est présent aussi sur écran avec des séances de sensibilisation à l’arbitrage ou un petit duel e-sport, sur console de jeu.
Stéphane Savaris