Marie-Hélère Joiret : seul le premier procès Cools comptait
Marie -Hélène Joiret était aux côté d'André Cools le matin du 18 juillet 1991. Elle aussi avait été abattue sur le parking arrière de sa résidence, à Cointe.
Grièvement blessée d'une balle à l'épaule, le médecin qui l'avait opéré la considérait comme une miraculée. Seule témoin directe de l'assassinat, elle avait formellement reconnu les tueurs tunisiens, lors d'une confrontation organisée par vidéo-conférence.
Marie -Hélène Joiret considère que la justice a été rendue lors du premier procès, même si des zones d'ombre subistent à jamais. Elle n'attendait pas de toute façon pas grand chose de ce troisième procès.