Une nouvelle triple liégeoise sort de sa tanière !
L’heure n’est peut-être pas à la fête pour les brasseurs, vu la fermeture du secteur Horeca. Qu’à cela ne tienne, la Bestiale continue d’élargir sa gamme, une troisième bière de la marque liégeoise est désormais disponible : la Bestiale Triple. Elle a été présentée à la presse lors d’une conférence en ligne. Une des équipes de RTC s'est connectée à la dégustation !
Faute de bar ouvert, le brasseur liégeois Simon Charlier s’adapte et a présenté en ligne sa nouvelle Bestiale aux journalistes. Pour rendre l’expérience plus conviviale, il nous a fourni un pack au préalable. A l’intérieur, on retrouve sa dernière création houblonnée: la Bestiale Triple.
Sans surprise, la triple a du corps et une certaine subtilité qui fait sa singularité par rapport à d’autres de la même catégorie. Avec ses 8,4°, la bière spéciale liégeoise présente aussi des arômes exotiques et des notes de mandarine, d’ananas et de noix de coco.
Elaborée pendant plus d'un an
Brassée et produite en grande quantité à Hombourg dans les installations Grain d’Orge, cette triple a fait l’objet d’expérimentation pendant plus d’un an.
"Ma vision du produit est toujours la même : respecter la tradition, mais avec mon grain de folie en plus", confie Simon Charlier. "Ici, j’avais envie de proposer une triple différente, unique et à mon image, pas une énième bière qui ressemble à toutes les autres. J’ai développé plus de 30 variantes avant d’arriver à un produit vraiment original. Peut-être que les puristes s’insurgeront, mais ce qui compte pour moi, c’est que le produit soit bon !"
Comme à son habitude, Simon Charlier a sollicité sa communauté de testeurs pour orienter les caractéristiques du produit final.
Après une première bière blonde représentée par un cerf et une deuxième bière plus légère portant l’emblème du lièvre, la triple a sorti un ours massif de sa tanière.
En attendant une réouverture de l’Horeca, la Bestiale Triple arrive déjà dans différents commerce liégeois. Si vous la croisez, dernier conseil : ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir dégusté !