Le HC Visé n'a jamais été ennuyé face au Hurry Up
Ce samedi soir, la 10e journée de Beneleague qui opposait le HC Visé et le Hurry Up Eendracht s'est tenue au hall omnisports de Visé. Les deux équipes proche l'une de l'autre au classement devaient s'imposer pour rester proche du Top 4.
Visé commence fort avec un but dans les premiers instants du match. Ils vont s’enchaîner notamment via Hamza Hadzic et Yves Vancosen. Les deux joueurs sont en feu et mettent Visé sur orbite. Le score évolue très vite ! Mais le Hurry Up ne lâche pas et tient tête à Visé. C’est 9-7 après 12 minutes de jeu. Hamza Hadzic ne s’arrête plus ! Même si Le gardien visétois, Corentin Delatte est obligé de sortir quelques gros arrêts pour laisser son équipe dans le match. C’est 20 -15 à la mi-temps et Visé n’a jamais vraiment été inquiété.
Au retour des vestiaires, Le Hurry Up n’a pas dit son dernier mot et les hollandais marquent deux buts très rapidement. Mais Visé est toujours là ! Et quand ce n’est plus Hamza Hadzic, c’est Yves Vancosen qui s’y met. Les Visétois sont très efficaces offensivement. La défense visétoise est solide mais le Hurry Up n’est pas venu au Hall omnisports de Visé pour faire de la figuration. L’équipe hollandaise reste dans le match, sans pour autant l’emballer. Après 15 minutes de jeu en seconde période, c’est 30-23 pour le HC Visé. Corentin Delatte n’a pas laissé ses réflexes au vestiaire, il sort encore quelques balles importantes en seconde période. Ce qui permet à l’équipe de Korneel Douven d’être sereine. Le Hurry Up n’aura rien lâché mais Visé s’impose 36-30 et se rapproche du Top 4 de la Beneleague. Corentin Delatte, le jeune gardien qui remplace Nicholas Plessers blessé a été presqu’héroïque dans ce match. C’est lui qui a permis à Visé de rester dans la rencontre à plusieurs reprises. Le top 4 en ligne de mire, Visé est conscient de ses ambitions mais garde les pieds sur terre.
Visé aura fort à faire dans ses prochains affrontements : en déplacement à Neerpelt et à Volendam. Et à la maison face au Monstre de Boccholt.
Julien Haid