La Wallonie doit rester terre de cyclisme
De plus en plus, les communes se montrent réticentes, par la voix de leur bourgmestre, à accepter sur leur territoire le passage d'une course cycliste. Motifs invoqués : le coût de la sécurité et la responsabilité pénale du bourgmestre en cas d'incident. A Aywaille et Blegny, les député-bourgmestres réagissent : la Wallonie doit rester terre de cyclisme